13 signes d’attaques de démons. Par Makko Musagara 13 signes d’attaques de démons. Cher lecteur, le diable combat en ordonnant à ses démons d’attaquer les chrétiens. Malheureusement, plusieurs fois, certains chrétiens ne savent pas qu’ils subissent des attaques démoniaques. Dans cet article, je vous donne 13 signes d’attaques de démons. Veuillez noter que tous ces incidents ne sont pas toujours dus à des attaques démoniaques. Cauchemars Lorsque vous êtes victime d’attaques démoniaques, votre vie de rêve va changer. Vous commencerez à faire des cauchemars. Priez dès que vous sortez d’un mauvais rêve. Appelez notre Père céleste, Jésus-Christ et le Saint-Esprit pour vous aider. Rêver de serpents. Rêver d’un serpent est un indicateur majeur d’attaque par des démons. Priez dès que vous sortez d’un tel rêve. Rêver d’une vache ou d’un taureau qui vous attaque. Rêver d’une vache ou d’un taureau qui vous attaque est un autre indicateur d’attaques démoniaques. Priez dès que vous sortez d’un tel rêve. Les accidents Un accident peut être un indicateur d’attaque par des démons. Faites une contre-attaque par la prière. Veuillez noter que tous les accidents ne sont pas dus à des attaques démoniaques. Sentiment de puissances maléfiques entrant dans votre corps. Dans de nombreux cas, un chrétien peut sentir des puissances maléfiques entrer dans son corps. Priez dès que vous ressentez de tels pouvoirs. Confusion. Une personne attaquée par des démons peut devenir confuse. Si cette situation n’est pas traitée tôt, cette personne peut devenir folle. Perte de sommeil la nuit. Parfois, la présence de démons peut vous empêcher de dormir. Au lieu de rester éveillé dans votre lit, allez dans la prière. Des pertes financières inexplicables. Les démons peuvent causer des pertes financières inexplicables. Lorsque vous subissez de telles pertes, priez pour la restauration de Dieu . Mort inexplicable. Parfois, un décès peut être très difficile à expliquer. Cela peut être dû à des attaques démoniaques. Priez chaque fois que vous voyez ce type de mort. Faiblesse soudaine. Parfois, les démons attaquent en drainant toute votre énergie. Lorsque cela se produit, priez pour la puissance du Saint-Esprit. Casse d’articles ménagers. Parfois, casser des objets ménagers comme des verres et des ustensiles en céramique peut être un indicateur d’attaques démoniaques. Priez dès qu’un ustensile se casse. Douleur soudaine. Parfois, un chrétien peut ressentir une douleur soudaine. Priez immédiatement pour chasser les démons. Maladie inexplicable. Parfois, les médecins peuvent ne pas diagnostiquer la maladie. Une telle maladie peut être due à des attaques démoniaques. Demandez à vos partenaires de prière de venir prier pour votre guérison. Bruit étrange. Un bruit étrange peut indiquer la présence d’un démon. Par exemple, vous pouvez entendre quelque chose tomber sur le toit de votre maison.
L’Appel de Dieu — 2 Timothée 19; Romains 828, 29; Hébreux 118. Hamilton Smith. Traduit de Scripture Truth magazine, Volume 15, 1923, pages 248-252. Table des matières 1 - Le monde d’où il a été appelé. 2 - Le monde auquel nous sommes appelés 3 - L’effet actuel de l’appel sur le peuple de Dieu - Étrangers et pèlerins sur la terre - Témoins de Dieu sur la terre - Nouvelles bénédictions 4 - Conclusion L’Écriture montre très clairement que ceux qui croient au Seigneur Jésus-Christ sont à la fois sauvés » et appelés ». Nous lisons en 2 Timothée 19 Dieu qui nous a sauvés et nous a appelés d’un saint appel ». Mais si tout vrai croyant connait quelque chose de la bénédiction du salut de Dieu, il y en a relativement peu qui entrent dans la joie de l’appel. Hélas, il est à craindre que pour beaucoup, l’appel » ne soit qu’un terme rencontré occasionnellement dans l’Écriture, sans grande signification précise, et donc sans effet sur nos vies. Pourtant, rien n’a une influence aussi puissante sur les conceptions du chrétien, sur sa manière de vivre et sur le caractère de ses associations, que la réalisation de l’appel de Dieu. Il faut se rappeler l’appel profondément solennel adressé au pécheur dans le récit sur le jardin d’Eden Et l’Éternel Dieu appela l’homme, et lui dit Où es-tu ? » Genèse 39. C’était un appel pour que le pécheur rende compte de son péché. Ensuite il y a l’appel important fait au serviteur, par exemple quand le Saint-Esprit dit Mettez-moi … à part Barnabas et Saul, pour l’œuvre à laquelle je les ai appelés » Actes 132. Ces deux appels ont leur place dans les voies de Dieu, mais nous ne faisons référence ici ni à l’appel du pécheur, ni à l’appel du serviteur, mais plutôt à l’appel adressé au saint. Ce grand appel est la part commune de tous les saints, aussi lents soient-ils pour y répondre et pour entrer dans les bénédictions qui s’y rapportent. L’appel de Dieu est venu à nous dans l’évangile par lequel nous avons été sauvés 2 Tim. 19,10, même si nous ne réalisons que faiblement, voire pas du tout, que Dieu nous a appelés. Naturellement notre première préoccupation a été le salut pour échapper au jugement de Dieu, et c’est à juste titre que nos âmes ont été remplies de reconnaissance pour ce grand salut. Mais nous n’avons guère réalisé que Dieu avait en vue quelque chose de beaucoup plus grand devant Lui que le salut de nos âmes, qu’Il avait un propos glorieux pour nous, et que c’est en vue de l’accomplissement de ce propos qu’Il nous appelait. C’était pourtant bien la réalité ; en effet, si le salut de Dieu a en vue notre délivrance du jugement, l’appel de Dieu a en vue l’accomplissement du propos de Dieu. C’est ainsi qu’il est parlé en Romains 828, de ceux qu’Il a appelés selon Son propos ». Quelle pensée sublime ! Dieu a un propos pour les Siens, un propos établi avant la fondation du monde, et c’est dans le but de l’accomplir qu’Il nous a appelés. Il nous a sauvés parce que nous avions besoin de salut. Il nous a appelés parce qu’Il nous voulait. C’est ainsi le privilège de tout croyant de dire Bien que Dieu soit si grand, et que je sois si petit, Dieu me veut ; et me voulant, Il m’a appelé ». Pour comprendre la signification spirituelle de l’appel de Dieu, il est utile de considérer l’histoire d’Abraham. Il a été le premier saint de l’Ancien Testament à être appelé de Dieu. Il y avait eu d’autres hommes de foi avant lui. Abel avait souffert pour la foi en étant dans le monde. Énoch marcha par la foi à travers le monde. Noé a été sauvé par la foi hors d’un monde en ruine. Mais il a fallu attendre le temps d’Abraham pour entendre parler d’un saint appelé hors du monde. Or le monde était âgé de 1800 ans quand Dieu appela un homme pour en sortir. Réfléchissons un peu, et nous verrons la raison de ce délai. Jusqu’aux jours d’Abraham, les choses n’étaient pas mûres pour l’appel de Dieu ; car si Dieu appelle un homme hors du monde, c’est que le moment est arrivé où il est manifeste que le monde est condamné, et que Dieu en a fini avec lui. Dieu peut continuer avec lui pendant un certain temps, comme d’ailleurs Il l’a fait pendant de longs siècles ; et dans les voies de Dieu beaucoup de choses peuvent y être produites ; mais à partir du moment où Dieu appelle un homme hors du monde, nous pouvons être certains que, non seulement le monde en a fini avec Dieu, mais que Dieu en a fini avec le monde en tant que tel. En outre, l’appel de Dieu signifie non seulement que Dieu en a fini avec ce monde mauvais, mais que le moment est venu pour Dieu de commencer à révéler à la foi un grand secret, à savoir qu’Il a un autre monde en vue, un monde où tout est en accord avec Lui-même. Ainsi l’appel d’Abraham a été un tout nouveau départ dans les voies de Dieu. Et le nouveau principe sur lequel Dieu a commencé à agir il y a 4000 ans, est le principe sur lequel Dieu agit encore aujourd’hui, quoiqu’avec la venue de Christ, Sa mort, et Sa séance à la droite de Dieu, l’appel de Dieu a été révélé beaucoup plus complètement et nettement. Deux aspects de l’appel ressortent très nettement de l’histoire d’Abraham. Nous lisons en Hébreux 118 étant appelé… pour s’en aller », par référence au monde qu’il devait laisser derrière lui. Ensuite, nous lisons étant appelé pour s’en aller au lieu qu’il devait recevoir pour héritage ». Ce qui est en vue ici, c’est le nouveau monde dans lequel il a été appelé. Étienne se réfère également à ces deux aspects de l’appel d’Abraham, car il relate que Dieu dit à Abraham Sors de ton pays et de ta parenté, et viens au pays que je te montrerai. » Actes 73. 1 - Le monde d’où il a été appelé. Les ch. 10 et 11 de la Genèse décrivent le caractère terrible du monde d’où Abraham a été appelé à sortir. Trois choses marquaient ce monde. Tout d’abord c’était un monde apostat tombé dans l’idolâtrie. Nous le savons par les dernières paroles de Josué à Israël rapportées en Josué 242. Il leur rappelle que leurs pères, avec Térakh père d’Abraham, ont servi d’autres dieux ». L’idolâtrie exclut le vrai Dieu en établissant des dieux selon l’imagination mauvaise de l’homme. Cela signifie que l’homme avait apostasié de Dieu, et que Dieu était exclu du monde de l’homme. Deuxièmement, c’était un monde où l’homme se glorifiait lui-même, car ils disaient Allons, bâtissons-nous une ville, et une tour dont le sommet [atteigne] jusqu’aux cieux ; et faisons-nous un nom » Genèse 114. Non seulement ce monde déshonorait Dieu, mais aussi il glorifiait l’homme. Enfin, le ch. 11 se termine dans l’obscurité de la mort Térakh mourut à Charan ». Le monde qui exclut Dieu et glorifie l’homme, est un monde qui est sous l’emprise de la mort. Les hommes peuvent acquérir une grande renommée, comme Nimrod qui était puissant sur la terre ; ils peuvent construire de grandes villes comme Assur, ou tenter de construire une tour dont le sommet touche au ciel, comme les hommes de Babel ; mais à la fin, le puissant doit s’incliner devant un encore plus puissant, la ville s’écroule dans la poussière, la tour devient un monceau, et la mort règne sur tout. Voilà ce qu’était le monde d’où Abraham a été appelé. Un monde d’où Dieu était exclu, où l’homme était exalté, et sur lequel la mort régnait. Or tel qu’était le monde alors, tel il est encore aujourd’hui. Le monde actuel mauvais a eu son commencement dans les jours qui ont suivi le déluge. L’apôtre Pierre, se référant au monde avant le déluge, l’appelle le monde d’alors » 2 Pierre 36. Ce monde a disparu à jamais ; mais immédiatement après, il parle des cieux et de la terre de maintenant ». Il fait référence par-là au monde qui a commencé après le déluge. Et comme il a commencé, en excluant Dieu, en exaltant l’homme, et en alimentant la mort, ainsi il a continué, et ainsi il finira dans un dernier éclat furieux d’apostasie de Dieu, d’exaltation de l’homme, et de dévastation de la mort. Un monde avec un pareil caractère ne convient évidemment pas à Dieu. Le parole reçue par Abraham était Va-t’en de ton pays, et de ta parenté, et de la maison de ton père » Genèse 121 ; et la parole de nos jours est Sortez du milieu d’eux et soyez séparés » 2 Cor 617 ; quant aux corruptions babyloniennes de la chrétienté, la parole est Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez pas à ses péchés et que vous ne receviez pas de ses plaies » Apoc. 184. Ceci, cependant, n’est qu’un aspect de l’appel de Dieu. Il y a, comme nous l’avons vu, un autre aspect très béni. 2 - Le monde auquel nous sommes appelés Si l’histoire d’Abraham nous instruit sur le caractère du monde de l’homme, elle nous donne aussi des aperçus brillants du monde de Dieu. On se souvient qu’Étienne commence son discours devant le sanhédrin juif en rappelant l’histoire d’Abraham. Il dit Le Dieu de gloire apparut à notre père Abraham ». Il ne dit pas le Dieu de la terre’, mais le Dieu de gloire’, c’est-à -dire le Dieu d’un autre monde, un monde de gloire. Dans l’Écriture, la grande pensée de la gloire, c’est Dieu manifesté. Le Dieu de gloire implique le Dieu d’une scène où Dieu est parfaitement révélé selon Sa nature et Ses attributs. Entourés comme nous le sommes de tous côtés par un monde où s’étale le mal du cœur de l’homme, d’où Dieu est exclu, où l’homme est exalté et où la mort règne, nos sensibilités sont émoussées par le contact permanent avec ce monde-là , et nous avons du mal à réaliser la bénédiction infinie d’un autre monde, celui où Dieu est pleinement révélé — où tout parle de l’amour, de la sainteté, de la sagesse et de la puissance de Dieu, une scène donc de joie parfaite et de repos, où le péché, la douleur, et la mort ne pénètrent jamais. Un tel monde de gloire est aux antipodes de ce monde mauvais. Or non seulement ce nouveau monde de gloire a été mis au grand jour, mais le propos de Dieu d’y avoir les Siens a aussi été révélé, car si le Dieu de gloire est apparu à un homme, c’est pour que l’homme puisse paraître dans la gloire de Dieu. Cela aussi ressort de façon très heureuse dans l’histoire d’Étienne. Car s’il commence son discours par le Dieu de gloire apparaissant à un homme, il le termine par le témoignage rendu à l’Homme apparaissant dans la gloire de Dieu Mais lui… ayant les yeux attachés sur le ciel, vit la gloire de Dieu, et Jésus debout à la droite de Dieu ; et il dit Voici, je vois les cieux ouverts, et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu » Actes 755-56. L’Esprit de Dieu, par Étienne, place ainsi devant nous un nouveau monde de gloire, et un Homme nouveau dans cette gloire, Quelqu’un de parfaitement adapté à une scène où Dieu est pleinement révélé. En outre, l’apôtre Paul nous dit que ceux qui sont appelés selon le propos de Dieu sont prédestinés à être conformes à l’image de Son Fils Rom. 828, 29. Dans la mesure où ces vérités entrent dans nos âmes dans toute leur grandeur, nous commençons à réaliser la bénédiction surabondante de cet appel qui nous introduit dans un monde de gloire, pour y être conformes à l’image de l’Homme dans la gloire. Nous pouvons bien chanter Est-ce possible ! Nous serons semblables à Ton Fils. Est-ce là la grâce qu’Il nous a gagnée ? Père de gloire, quelle pensée qui surclasse toute autre Être amenés à Sa ressemblance bénie dans la gloire ! Ayant vu le caractère de l’appel, à la fois par rapport au monde d’où nous sommes appelés, et par rapport au monde vers lequel nous sommes appelés, — nous pouvons bien nous demander quel est l’effet présent de l’appel sur le peuple de Dieu. 3 - L’effet actuel de l’appel sur le peuple de Dieu Ici encore, l’histoire d’Abraham nous fournit une riche instruction. Il est évident que l’appel de Dieu a entièrement changé le cours de sa vie. Il est également clair que ce changement n’a été produit que dans la mesure où il a répondu à l’appel. L’appel de Dieu est devenu un test pour la foi d’Abraham, tout comme d’ailleurs il devient un test pour chaque enfant de Dieu aujourd’hui. Voici le test l’appel de Dieu dans toute sa grandeur et sa bénédiction, a-t-il une emprise telle sur nos affections qu’il l’emporte sur toute autre considération ? Dans le cas d’Abraham, Dieu lui a dit Va-t’en de ton pays, et de ta parenté, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai ». C’était, en effet, un test sévère pour la foi d’Abraham. L’appel de Dieu était-il si important et si béni à ses yeux qu’il pouvait obéir à cet appel et laisser entièrement derrière lui son pays, sa parenté, et la maison de son père ? L’histoire d’Abraham nous dit qu’il a été freiné, pour un temps, par la maison de son père. Abraham a été appelé à quitter littéralement le pays de sa naissance, sa parenté et la maison de son père. Dans le cas du chrétien l’appel ne prend pas ce caractère littéral, mais néanmoins nous sommes appelés à être moralement en dehors du pays, de la parenté et de la maison du père. Et si le chrétien en est moralement en dehors, cela peut amener à ce qu’il soit chassé du cercle politique, social, et même familial, comme dans le cas de l’aveugle-né de Jean 9. En tout cas, le moment vient dans notre vie où nous avons à décider si ce qui est primordial est l’appel puissant de Dieu, ou les revendications insistantes du pays, de la parenté, et de la maison de son père. Si nous obéissons à l’appel, l’effet sera triple. - Étrangers et pèlerins sur la terre Tout d’abord, nous deviendrons étrangers et pèlerins sur la terre. C’est ce qui arriva pour Abraham et pour ceux qui lui étaient associés. Ils ont entendu l’appel de Dieu, ils ont vu de loin » la perspective bénie déployée devant eux dans les promesses qui parlaient de la patrie céleste et de la cité de Dieu. Le résultat en a été, qu’étant persuadés de ces promesses, ils s’en sont emparé, et ont confessé qu’ils étaient étrangers et pèlerins sur la terre. - Témoins de Dieu sur la terre Deuxièmement, après avoir accepté de suivre un chemin où l’on est étranger, on devient témoin de Dieu sur la terre. Ainsi quant à ceux qui, comme Abraham, ont confessé être devenus étrangers et pèlerins, il est dit d’eux ceux qui disent de telles choses montrent clairement qu’ils recherchent une patrie » Héb. 1113-14. L’homme qui a une confession claire comme témoin de Dieu, est l’homme qui répond à l’appel de Dieu. - Nouvelles bénédictions Troisièmement, ayant répondu à l’appel, ayant pris le chemin en tant qu’étrangers, et s’étant donc franchement déclaré pour Dieu, on acquiert de nouvelles bénédictions pour son âme, et on fait donc des progrès spirituels dans la lumière reçue. Il en fut ainsi avec Abraham. Il n’a pas reçu d’autre lumière de Dieu jusqu’à ce qu’il ait répondu à l’appel. Mais une fois qu’il a répondu à l’appel, Dieu lui est apparu pour la seconde fois, et lui a donné davantage de lumière, lui parlant de la Semence, et disant Je donnerai ce pays à ta semence » Genèse 127. Le grand panorama de gloire déroulé à la foi dans l’appel de Dieu rend les gloires fugitives de ce monde très faibles et fort minces. Quand on les voit dans leurs vraies dimensions, les laisser derrière n’est guère difficile. Et s’il arrive que pour un moment » l’appel de Dieu soit source d’une légère affliction », qu’importe puisque nous savons qu’il y a au-delà en mesure surabondante, un poids éternel de gloire » 2 Corinthiens 417 ! 4 - Conclusion Puisse l’appel de Dieu devenir pour chacun de nous si réel, si net et si grand que, comme Paul autrefois, nous puissions dire, oubliant les choses qui sont derrière et tendant avec effort vers celles qui sont devant, je cours droit au but pour le prix de l’appel céleste de Dieu dans le christ Jésus » Philippiens 314, et que nous soyons vraiment en mesure de chanter Appelés d’en-haut, Êtres célestes par naissance, Jadis citoyens de la terre, Aujourd’hui pèlerins ici-bas, Nous cherchons une patrie céleste, Notre part pour les siècles à venir.
pervertirles signes de Dieu, en se les appropriant à sa guise, au lieu de se laisser conduire avec confiance. C’est là que tout se joue. Mais le Démon peut brouiller les signes, parasiter leur signification. Père René-Luc : la parabole des étoiles ou comment voir les signes de Dieu ? Lors des tentations du Christ au désert (Lc 4, 1-13), le Démon demande des signes – prodigieux Dieu n'adressa pas d'appel direct à Ésaïe. Ésaïe entendit seulement Dieu demandant Qui enverrai-je ? » L'appel de Dieu n'est pas seulement pour quelques-uns, il s'adresse à tous Qui enverrai-je et qui marchera pour nous ? — Me voici, répondis-je, envoie-moi. Ésaïe 68 » Cela veut dire simplement que parmi les appelés, peu écoutent de manière à être élus. Les élus sont ceux qui, entrés en contact avec Dieu par Jésus-Christ, ont changé leur attitude, et dont les oreilles, débouchées, perçoivent le murmure doux et subtil" répétant sans cesse Qui marchera pour nous ? » Il ne s'agit pas d'un appel direct à un individu, à qui Dieu disait Toi, il te faut aller ! » Dieu n'a pas du tout contraint Ésaïe. Ésaïe se tenait devant Dieu, il entendit l'appel, et il se rendit compte qu'il n'avait qu'un seul parti à prendre, une seule réponse à faire Me voici, envoie-moi. » Débarrassez-vous de l'idée que Dieu viendra vous chercher, avec des injonctions ou des requêtes. Quand notre Seigneur appela ses disciples, il n'exerça sur eux nulle appel, à la fois ardent et serein Suis-moi », s'adressait à des hommes en possession de tout leur sang-froid. Si nous permettons à l'Esprit de Dieu de nous amener devant Dieu, face à face, nous entendrons, comme Ésaïe, le murmure doux et subtil, et librement, sans crainte, nous dirons Me voici, envoie-moi. » L'appel de Dieu traduit la nature de Dieu J'entendis la voix du Seigneur disant Qui enverrai-je ? Ésaïe 68. » Quand nous parlons de l'appel de Dieu, nous oublions trop souvent ce qui est le plus essentiel, la nature même du Dieu qui nous appelle. Il y a bien des appels Celui de la mer, celui des sommets, celui des glaces polaires ; ils ne sont entendus que par ceux qui sont faits pour les entendre. Car pour entendre un tel appel, il faut quelque chose en nous qui s'y rapporte. L'appel de Dieu exprime la nature divine, et non la nôtre. Il y a certains accents de l'appel de Dieu qu'Il nous destine et que nous sommes seuls à percevoir. C'est Dieu même qui s'adresse à nous et à nous seuls sur tel point particulier. Il faut que nous puissions être en communion directe avec Lui. L'appel de Dieu n'est pas du tout l'écho de ma nature propre ; mon tempérament, mes tendances personnelles n'ont rien à y voir. Tant que je suis préoccupé de ma nature propre et de mes aptitudes spéciales, je suis incapable d'entendre l'appel de Dieu. Pour en être capable, il faut que je traverse, comme Ésaïe, une crise qui me transforme et accorde mon âme au diapason de Dieu. La plupart d'entre nous n'ont d'oreille que pour eux mêmes et n'en ont point pour Dieu. Ce qu'est en nous l'appel de Dieu L'appel de Dieu n'est pas un appel à Le servir de telle ou telle manière particulière ; mais je puis, pour moi, l'interpréter ainsi. Par mon contact avec Dieu, je me rends compte de ce que je voudrais faire pour Lui. L'appel de Dieu en nous, c'est avant tout l'expression de ce qu'Il est. La manière dont je puis le servir, c'est l'expression de ce qu'il y a en moi. Quand Dieu jugea bon de révéler en moi son Fils, dit saint Paul, afin que je puisse l'annoncer...», c'est-à -dire en somme exprimer le fait de Sa présence en moi. Le service de Dieu n'est pas autre chose que l'amour et l'adoration assez abondants pour déborder et se répandre au dehors. Mais, à dire vrai, Dieu ne nous appelle pas expressément à le servir ; c'est une toute petite chose qui vient de moi, c'est l'effet naturel de ma vie transformée, Dieu me met en rapport avec Lui, de façon que je puisse comprendre son appel ; alors, de moi-même, par amour pour Lui, je fais ce que je puis. Servir Dieu est l'humble hommage d'un être à qui Dieu s'est révélé. Quand il me communique quelque chose de Lui-même, cette énergie, qui est en moi comme en Lui, me permet d'agir avec Lui. Le Fils de Dieu s'étant révélé en moi, je le sers donc tout naturellement dans tous les détails de ma vie. Appelé à proclamer la Bonne Nouvelle Le Christ ne m'a pas envoyé pour baptiser, mais pour annoncer la Bonne Nouvelle. 1 Corinthiens 117 » Paul déclare ici que l'appel de Dieu, c'est l'appel à proclamer la Bonne Nouvelle, c'est-à -dire la réalité de la Rédemption, dans la personne de notre Seigneur Jésus-Christ. Nous sommes portés à faire de la sanctification le but final de notre enseignement. Paul se sert de ses expériences personnelles simplement à titre d'exemple, mais ce n'est jamais pour lui le but dernier. Aucun texte dans la Bible ne nous ordonne de prêcher le salut ou la sanctification ; notre rôle est d'élever Jésus-Christ. Jean 1232 C'est une mauvaise plaisanterie que d'oser dire Jésus a souffert pour que je devienne, moi, un saint. » Jésus a souffert pour racheter le monde entier, et le placer, restauré, purifié, sans tache, devant le trône de Dieu. Le fait que la Rédemption peut manifester en nous son efficacité est une marque de sa puissance et de sa réalité, mais non pas son but. Si Dieu avait notre nature humaine, comme il serait fatigué, écœuré de nos incessantes prières pour notre salut, pour notre sanctification. Du matin au soir, nous l'accablons de nos requêtes Il nous faut ceci, il faut qu'Il nous délivre de cela ! Quand nous aurons touché le roc profond de l'Évangile, nous ne L'ennuierons plus de nos jérémiades. Paul n'avait qu'une passion proclamer la Bonne Nouvelle. Il acceptait avec empressement les chagrins, les déceptions, les persécutions, parce que tout cela contribuait à faire de lui un serviteur ferme et dévoué de l'Évangile. L'appel qui nous contraint Malheur à moi, si je n'annonce pas la Bonne Nouvelle ! 1 Corinthiens 916 » Prenez garde de ne pas boucher vos oreilles à l'appel de Dieu. Sans doute, quiconque est sauvé est appelé à rendre témoignage de ce fait. Mais ce n'est pas encore là l'appel à prêcher l'Évangile, il ne s'agit que d'un exemple dont on pourrait se servir au cours d'une prédication. Paul, dans ce texte, parles de la contrainte douloureuse qu'il a éprouvée, lorsqu'il s'est agi pour lui d'annoncer la Bonne Nouvelle. Le salut est une affaire toute simple où Dieu se charge de tout Venez à moi et je vous sauverai. » La croix de Jésus-Christ nous impose le salut. Mais pour être son disciple, il faut un choix que nous seuls pouvons faire. Pour que je sois, comme Paul, un véritable serviteur de Jésus-Christ, Dieu me façonne à son gré, sans me demander ma permission jamais. À son gré, Dieu fait de nous le pain rompu, le vin répandu. Être mis à part pour l'Évangile, c'est un déchirement, c'est une agonie Toutes nos ambitions broyées, tous nos désirs supprimés, tout en nous s'effaçant devant cet unique devoir Mis à part pour l'Évangile. » Malheur à celui qui essaye de marcher dans une autre direction, dès qu'il a entendu cet appel ! Quand Dieu vous a saisi, arrière tout autre appel ! Un texte de Oswald Chambers donnanttrois signes miraculeux (Exode 4.2-9). Il va donner 3 signes de puissance, le bâton qui va devenir un serpent, la guérison de la lèpre et l’eau du fleuve qui deviendra du sang. Ces trois signes vont devenir des symboles, le serpent représente les dieux de l’Egypte, l’eau du Nil représente les éléments de l’Egypte et la Que veux dire pour vous un appel de Dieu? Quelle forme de vocation? La vie religieuse, la prêtrise, le célibat, le mariage, la vie missionnaire, etc… Quand on demande un signe à Dieu, comment à votre avis, répond-il? Dieu parfois ne répond pas sous la forme qu’on pense. Pour entendre l’appel Dieu habite déjà notre cœur mais les » bruits du monde » dérangent notre âme et paralysent notre écoute intérieur, surtout notre capacité de s’intérioriser pour trouver Dieu dans notre profondeur intérieure. Les » bruits du monde » = la musique style walkman, la télévision, il nous faut absolument du bruit. Ça veut pas dire que tout n’est pas bon, mais simplement qu’il faut prendre des temps de silence. Nous aurons besoin de l’aide d’un accompagnateur ou d’un guide spirituel, et ils doivent le faire de manière à respecter notre liberté. Sûrement que dans votre vie vous vous êtes demandé la fameuse question POURQUOI ?, pourquoi Dieu, pourquoi moi, pourquoi la vie, pourquoi la mort, pourquoi j’existe, pourquoi… etc… C’est tout à fait normal qu’on se pose cette question, ça fait partie de notre côté humain. Il ne faut pas chercher les réponses à nos questions en demandant à Dieu ou a quelconque esprit PAR la magie, la divination ou d’un quelconque recours à des forces occultes. On pose les questions à Dieu de façon très simple. Comme un enfant qui questionne son père. Vous remarquerez que l’enfant le fait avec confiance et patience. Il y a deux genre ou 2 types de questions Les pourquoi terre à terre »Il y a des millions de pourquoi qui touchent tous les domaine de notre vie humaine ce sont des questions très terre à terre, des questions auxquelles il est facile de répondre, on peux par nous même trouver les réponses car elles sont facile à trouver, elles sont à notre portée. Ex Lorsque le scientifique Newton a observé la chûte d’une pomme, il s’est posée la question pourquoi est-elle tombée vers le sol ?.. et c’est ainsi qu’après longue réflexion a été donnée la réponse contenue dans la théorie sur la pesanteur et la gravité. Les pourquoi qui nous dépassent Les questions comme Qui suis-je? Pourquoi est-ce que j’existe? Pourquoi la souffrance ou le mal? Qu’est ma mort? etc. Ces questions touchent le sens de notre vie. La réponse de ces pourquoi ne sont pas faciles à trouver mais Dieu a des réponses à nous donner. Il existe 3 façons ou 3 manières de répondre à l’appel de Dieu Le premier mode de réponse est la fuiteJe n’ai pas le temps de m’occuper de cela…, j’ai bien assez à faire… Dans le fond c’est fuir l’appel, on ne veut pas l’entendre, on s’arrange pour être trop occupé. Avoir une vie remplie ne signifie pas forcément qu’on lui donne un sens. Le désespoir est une fuite c’est facile de dire, je suis déprimé donc l’appel n’est pas pour moi. Ce laisser aller au désespoir est une forme de suicide face à la vie, la qualité de la vie, on meurt à petit feu c’est comme baisser les bras avant même d’essayer d’écouter son appel. Le second mode de réponse est l’investissement dans une valeur humaineLes valeurs morales, humaines ou personnelles sont excellentes pour l’équilibre du monde et de la personne. Mais dire qu’on répond à l’appel de Dieu en travaillant seulement pour des valeurs morales, ex la justice, la paix, la famille, n’est pas le but principale d’une réponse à Dieu. Parfois notre travail est tellement axé sur des valeurs morales que ça devient notre propre petit dieu. On s’imagine pourtant avoir répondu à l’appel de Dieu. Une troisième manière de répondre consiste en une ouverture à que notre vie dépend de Dieu car c’est lui qui nous donne la vie. En plus Dieu nous regarde, il regarde ce que nous faisons, tout comme une mère qui regarde son nouveau-né, même il nous regarde comme un ami. Pour cela il faut la foi. En partant pour vouloir être à l’écoute de Dieu, cela suppose qu’on a déjà la foi. On croit que Dieu existe et acceptons Jésus-Christ dans notre vie. De là , la grâce a commencé à travailler en moi et a mis dans mon cœur un désir de le suivre, de le servir et de l’aimer. Comment je me situe face à Lui? Comment est-ce que je L’accueille? Comment est-ce que je gère » ma relation à Lui, dans le cadre de mon appel? Soit que je décide par moi-même de donner un sens à ma vie, sous le regard de Dieu. Je crois sincèrement en Dieu et je sais dans le fond de mon cœur qu’il m’appelle et de moi-même je prend la décision. Ça peut être un différent appel, le mariage, la vie religieuse, le célibat etc.Je le fais dans la foi, au meilleur de ma connaissance pour la Gloire de Dieu et le service de l’Église. Ou bien je laisse Dieu me faire voir son appel et je peux être surpris. J’ouvre mon cœur pour accueillir ce qu’il veut me dire et non pas ce que je pense qu’il veut me laisser Dieu me faire voir son appel, il va falloir que je sois très patient pour laisser grandir en moi son désir que j’accueille sa volonté. En fait, c’est après réflexion que je réalise ce qui m’ attitude est préférée de Dieu car elle lui laisse la liberté de me parler comme Il parle à un ami. Tant et aussi longtemps que je me donnerai moi-même mon propre appel ou tant que je fuierai l’appel qui vient de Dieu, j’aurai de l’insatisfaction dans mon cœur, j’aurai l’impression ou le sentiment de n’être pas rendu à la vraie lumière et à ce que je suis réellement. Un sentiment de vide. Ce qu’il convient de comprendre avant tout, c’est que Dieu espère déjà de moi ce que j’ignore peut-être encore. Et s’il l’espère, c’est qu’il m’a déjà donné la grâce et la force nécessaire pour l’accomplir. Appel Biblique Le Seigneur dit à Abram quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père pour le pays que je t’indiquerai. Je ferai de toi un grand peuple, je te bénirai, je magnifierai ton nom sois une bénédiction! » Abram = Abraham parce qu’Abram devient un autre homme, non pas une autre créature, mais une créature avec qui Il fait alliance et habite totalement. Quand on prend la décision de suivre le Seigneur, de quitter…quelque chose ou quelqu’un ou les deux, ça peut se faire par étape ou bien seulement dans certains domaines de notre vie. Tout appel comporte une action de » quitter… Le but de son voyage », ou de son aventure avec Dieu. » Quitte.. pour le pays que je t’indiquerai » que je t’indiquerai plus tardAbraham parti sans savoir où il allait. Le Seigneur nous fait pressentir quelque chose, mais on ne sait pas tout d’avance. La promesse. » je ferai de toi un grand peuple, je te bénirai, je magnifierai ton nom… »Il ne demande jamais à une personne de tout quitter.. pour rien. Dieu voit grand pour nous et il désire toujours donner en n’y a qu’une chose qui, malheureusement, empêche le Seigneur d’aller jusqu’au bout de la réalisation de ses promesses à notre égard notre manque de confiance et d’audace. Les peurs La peur de s’approcher de Dieu… de se laisser approcher par lui. Fausse image Dieu serait celui qui oblige la personne je dois faire ceci, choisir tel chemin parce que Dieu m’y contraint, et que je ne discute pas avec un pareil » Dieu tient toujours compte de notre liberté personnelle . Il existe une autre image de Dieu, moins épeurante, mais tout aussi fausse celle d’un bon vieillard, plus que permissif, qui fermerait les yeux sur tout ce que ferait la personne de négatif sous prétexte d’aimer… Ces fausses images de Dieu peuvent expliquer une certaine indifférence à l’égard de Dieu. La peur de DieuOn a peur d’approcher Dieu souvent à cause de certaines blessures. C’est une peur normale pour tout le monde, par contre ça n’empêche pas Dieu de nous répondre à un appel et suivre le Christ, ça demande une relation vraie avec Dieu. Le péché ne nous empêche pas de nous approcher du Seigneur si on prend le temps de se remettre à sa Miséricorde son pardon. La peur de Dieu, par contre, nous fait rester loin de lui. Discerner les peurs Prendre conscience de ces peurs de cette façon nous pourrons permettre au Seigneur de nous approcher et de diminuer nos peur. Les accepter et surtout donner la chance au Seigneur de guérir nos blessures qui sont la cause de nos peurs. Il faut être patient car ça peut prendre des années avant que nos peurs disparaissent. La meilleure façon, c’est de les présenter au cœur de Jésus. Les peurs spécifiques de l’appelNous avons surtout peur de ce que nous croyons, que Dieu s’attend de nous. De ce qu’il pourrait nous demander. La peur de n’être pas heureuxC’est très normal car nous désirons tous être heureux. Mais posons nous la question quelle est notre conception du bonheur? Qu’est-ce que ça veut vraiment dire le bonheur?Le saint Curé d’Ars nous répliquait tout de go Le seul bonheur en ce monde est d’aimer le Seigneur et de savoir qu’il nous aime ». Disons qu’on se dit J’ai envie de me marier, mais j’ai peur qu’en suivant le Seigneur, il me demande d’y renoncer…donc, je préfère ne pas lui poser la question! Ça nous ressemble n’est-ce pas? Notre Seigneur n’est jamais » sadique » et son grand désir est de nous attirer dans sa propre joie qui deviendra ainsi la nôtre…par divers chemins et sous diverses formes. Tout appel ouvre à la joie. Dieu ne refuse pas les joies naturelles comme celle de se réjouir entre amis, de marcher dans la nature ou de s’émerveiller devant un bébé. Au contraire, seuls ceux qui sont capables de joie naturelle, peuvent goûter la joie spirituelle… La peur de perdre sa libertéLorsqu’on répond à l’appel de Dieu, il sera celui qui dirigera notre vie, si on le laisse faire comme de raison, parce qu’on reste toujours libre. Notre vie ne sera plus la même parce qu’on aura pris librement la décision de la changer pour le mieux parce qu’on est maintenant à l’écoute de Dieu. On garde toujours notre liberté de pensée et d’action. La peur de se tromper de routeOui on peut se tromper, c’est pour ça que c’est important d’être soutenu par un conseiller, un guide, un accompagnateur, des personnes en qui on a confiance et qui veulent aussi suivre la volonté de ne serons jamais entièrement certain avant de nous engager complètement. Par exemple souvent avant un mariage, on entend des personnes dire qu’elles hésitent, elles ne sont plus certaines, ne veulent plus se marier pas toujours. Il y aura toujours un saut, un pas dans la foi. Gardons confiance en Dieu. Dans la mesure où nous sommes vrais devant lui, désirant réellement découvrir sa volonté d’amour sur notre vie, et prenant les moyens pour cela, Dieu ne permettra pas que nous fassions fausse route. Et même si, on ne répondait pas à l’appel de Dieu plus ou moins volontairement et que nous ayons pris un autre chemin, le Seigneur ne nous abandonneras pas pour autant. Il restera quand même avec nous. La peur de manquerPeur de manquer de loisirs, d’argent, de distractions, etc.. Il y a des peurs plus profondes » manquer d’affection, de tendresse… Dieu connaît nos véritables besoins et il les comble toujours. La peur qu’il nous soit trop demandéCelle-ci est fréquemment lié à notre imagination qui nous fait anticiper – en les déformant, des épreuves futures. Or, ce que nous vivons dans le moment présent peut toujours être assumé. Dieu veut nous apprendre à vivre au jour le jour, nous qui sommes trop souvent plongés dans le passé ou dans le futur. les grâces actuellesDieu ne permettra jamais que nous vivions des événements au delà de nos forces. Pour un discernement de notre vocation Le Seigneur n’appelle jamais de la même façon, car c’est personnel à chacun. l’urgence des tempsDieu semble appeler aujourd’hui plus qu’hier. Des vocations de plus en plus nombreuses surgissent maintenant ex marie jeunesse, les béatitudes, la famille Myriam, La communauté de l’AllianceDes grâces réservées auparavant à des personnes fort avancées dans la vie spirituelle ou mystique sont parfois accordées à des jeunes convertis la période-basculeIl s’agit d’une prise de conscience Je réalise que ma vie ne me satisfait plus. Même si j’ai une vie qui porte fruit pour Dieu, C’est comme-ci j’avais besoin de plus. Dans le fond ça veut tout simplement dire que le Seigneur désire prendre plus de place dans ma vie avec le Christ n’est pas comme un concours qu’il faut réussir et une fois réussi, tout est fini et classé! Au contraire, plus je trouve Dieu en répondant à son appel, plus je désire aller loin avec lui. Il ne faut pas trop vite conclure à une période-bascule lorsqu’elle semble survenir juste après un échec, qu’il soit affectif, professionnel, ou même spirituel. L’échec entraîne bien souvent un bouleversement intérieur incitant à un changement. les événements-signesMême si mon appel demeure flou, si je me donne la peine de regarder, il y a beaucoup des signes et d’événements qui peuvent me guider dans mon choix d’une vocation ne vient pas d’un seul coup ou du moins rarement. Il faut laisser la grâce de Dieu nous habiter et grandir en nous. Dieu prépare le terrain depuis fort longtemps. Rencontre entre désirs et événementsUn appel se situe toujours dans le désir qui nous habite. Dieu s’il veut quelque chose, le mettra déjà dans notre cœur et si on regarde bien il y a des événements et des signes que nous avons vécus ou que nous sommes en train de vivre. L’équilibre psycho-affectifDieu n’attend pas que nous soyons guéris de tel ou tel problème pour manifester son appel. Souvent son appel vient répondre à nos besoins et sera pour nous source de guérison dans le temps. Relativiser l’apport charismatiqueLes charismes peuvent être utiles dans un discernement de vocation, mais ils ne sont jamais déterminants dans notre choix de prophétie, une parole de connaissance reçues ne pourront que confirmer une intuition intérieure déjà présente. Elles peuvent parfois nous éclairer davantage ou bien nous apporter certaine lumière qui nous manquait, donner un » coup de pouce ». Il est important de savoir que Dieu ne fait jamais de » forcing » dans notre conscience et ne viole jamais notre liberté. Un appel que l’on perçoit est destiné à faire notre bonheur, et notre sainteté. Ne pas attendre d’être prêtOn ce sens jamais prêt pour répondre à un appel ou du moins c’est rare. C’est normal. Si on se sert de cette excuse pour ne pas répondre à l’appel, on est assuré de vivre une grande tristesse intérieure. Le saut dans la foi Même lorsqu’on est convaincu de notre appel, répondre à celui-ci suppose toujours l’épreuve du saut dans la foi. Tirée du livre L’appel de Dieu discernement d’une vocation » de Phillippe Madre, édition du Lion de Juda par Manon Roussel qikDsH.