Larésidence Les Pensées, résidence à l'architecture moderne, accueille les résidents en séjours temporaires ou permanents. La résidence dispose également d'une unité adaptée proposant un accompagnement spécifique aux personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer ou pathologie apparentée et d'un accueil de jour. En savoir plus.
1Les professionnels de santĂ© peuvent ĂȘtre rĂ©guliĂšrement amenĂ©s Ă  faire face Ă  des comportements qu’ils considĂšrent comme relevant de la sexualitĂ© dans leur pratique quotidienne d’aide et de soin aux personnes accueillies dans les institutions dans lesquelles ils travaillent. Une revue de littĂ©rature sur le thĂšme Alzheimer et sexualitĂ© [1] » indique que ces comportements peuvent ĂȘtre source de malaise pour les professionnels de santĂ©. 2L’objet gĂ©nĂ©ral de ce travail, inscrit dans une Ă©pistĂ©mologie constructiviste [2], est de proposer des Ă©lĂ©ments explicatifs du malaise observĂ© Ă  partir de la construction du lien Alzheimer et sexualitĂ© [3] ». Pour ce faire, la thĂ©orie des scripts de la sexualitĂ© est utilisĂ©e. Initialement Ă©laborĂ©e par Gagnon [4], elle postule le caractĂšre culturel, interpersonnel et intrapsychique de la construction et des reprĂ©sentations de la sexualitĂ© [5]. Cette thĂ©orie est ici appliquĂ©e aux liens Ă©tablis entre la sexualitĂ© et la maladie d’Alzheimer, afin de comprendre les scripts des professionnels de santĂ©. 3Vingt-six entretiens semi-directifs ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s auprĂšs de ces professionnels, puis intĂ©gralement retranscrits. Ils ont permis de mettre en Ă©vidence que la question du consentement, frĂ©quemment abordĂ©e, semble poser problĂšme dans les institutions. Cette notion peut Ă©galement ĂȘtre utilisĂ©e, et c’est l’objet de cette rĂ©flexion, dans le but d’analyser la maniĂšre dont les professionnels de santĂ© construisent leur discours. Il s’agit notamment d’analyser ce que rĂ©vĂšle la pratique de la division opĂ©rĂ©e par les professionnels entre rapport consenti et rapport abusif, tant au sujet de la maniĂšre dont sont reprĂ©sentĂ©es les personnes atteintes de maladie d’Alzheimer qu’au sujet de la maniĂšre dont est reprĂ©sentĂ©e la sexualitĂ© de façon consentement, une nĂ©cessitĂ©4La question du consentement sexuel, entendue comme le fait de participer de plein grĂ© Ă  une activitĂ© sexuelle, est abordĂ©e dans la quasi-totalitĂ© des entretiens rĂ©alisĂ©s dans le cadre de cette recherche auprĂšs des professionnels de santĂ©. Bien que la maniĂšre d’apprĂ©hender ce concept varie de l’évocation anecdotique Ă  une centration de l’entretien sur ce thĂšme, l’idĂ©e principale qui se dĂ©gage est que le consentement en matiĂšre de sexualitĂ© est Ă  la fois une nĂ©cessitĂ© et un problĂšme en institution accueillant des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. 5Le consentement est en effet pensĂ© de façon indissociable avec une vision valorisĂ©e de la sexualitĂ©, si bien qu’envisager un rapport perçu comme non consenti chez la personne atteinte de maladie d’Alzheimer peut signer une possible sortie des acceptions de la sexualitĂ© J’ai du mal à
, Ă  imaginer la sexualitĂ© sans notion de consentement, et j’ai du mal Ă  imaginer le consentement Ă©clairĂ© chez les patients Alzheimer. En tout cas chez ceux que je soignais, dans les unitĂ©s. VoilĂ . Ça me pose un souci mĂȘme. » infirmiĂšre, femme 6Le consentement apparaĂźt comme une condition nĂ©cessaire, une norme centrale de la sexualitĂ© lĂ©gitime et contemporaine, ainsi que l’a dĂ©montrĂ© Vigarello [6] 1997. ParallĂšlement, la possibilitĂ© mĂȘme de consentir pour une personne atteinte de maladie d’Alzheimer est fortement remise en question par les professionnels de santĂ©. La sexualitĂ© des personnes atteintes de maladie d’Alzheimer est alors entĂ©rinĂ©e du cĂŽtĂ© des relations abusives, anormales et criminalisĂ©es, le viol constituant le crime sexuel par excellence caractĂ©risĂ© par l’absence de consentement. PrĂ©venir ces abus justifie dĂšs lors d’une intervention de contrĂŽle et de limitation de la part des professionnels de obstacles Ă  la gestion du consentement en institution controverses professionnelles7Bien qu’il existe un consensus chez les professionnels de santĂ© concernant la nĂ©cessitĂ© d’inscrire les rapports sexuels dans un consentement mutuel, des controverses apparaissent cependant dĂšs qu’il s’agit pour eux de se prononcer, d’une part, sur l’existence d’un problĂšme de consentement » et, d’autre part, sur la suite Ă  donner, la conduite Ă  tenir. En effet, les professionnels de santĂ© jugent la protection de personnes considĂ©rĂ©es comme vulnĂ©rables et donc la prĂ©vention des abus comme faisant partie intĂ©grante de leur rĂŽle professionnel. Ainsi, il s’agit principalement d’une interrogation collective liĂ©e Ă  l’intentionnalitĂ© des protagonistes, tant du cĂŽtĂ© de la potentielle victime, en discutant de ses capacitĂ©s Ă  consentir ou non, que du cĂŽtĂ© du potentiel agresseur, en discutant de son caractĂšre responsable. 8L’incapacitĂ© de consentir est frĂ©quemment invoquĂ©e afin d’intervenir en vue de sĂ©parer deux personnes se livrant Ă  une activitĂ© sexuelle. La capacitĂ© ou l’incapacitĂ© Ă  consentir, parfois mise en parallĂšle avec la notion de consentement Ă©clairĂ© [7] », gĂ©nĂ©ralement Ă©valuĂ©e au cas par cas, est toutefois source de controverses au sein des Ă©quipes soignantes. Pour un professionnel de santĂ© qui perçoit une capacitĂ© plutĂŽt qu’une incapacitĂ© Ă  consentir dans un cas donnĂ©, invoquer une absence de consentement peut ĂȘtre perçu comme une justification de pratique de sĂ©paration visant Ă  interdire toute expression de la sexualitĂ© [Les autres soignantes] avaient un certain Ăąge, et elles trouvaient ça
 Ouais, c’est des choses qui se font pas je pense pour elles, aprĂšs elles parlaient aussi du fait que, que la personne pour elles Ă©tait un peu
 Enfin si [la femme] Ă©tait en maison de retraite, c’est que c’était une personne dĂ©pendante, donc, qui avait pas toute sa tĂȘte entre guillemets, et que donc le monsieur en profitait, alors que pas du tout. » femme, infirmiĂšre 9A contrario, pour un professionnel de santĂ© qui considĂšre qu’il s’agit d’un cas d’absence de consentement, la rĂ©ticence d’un autre professionnel Ă  envisager un traitement chimique de celui qui est alors considĂ©rĂ© comme un agresseur peut ĂȘtre perçue comme une identification Ă  l’agresseur rendue possible par une similaritĂ© de genre Pour eux, c’était pas si grave que ça, et je pense que c’est parce que ce sont des hommes, [
] une sorte de comprĂ©hension, virile, entre hommes, on se comprend, on peut accepter qu’il y ait des pulsions. » femme, infirmiĂšre 10Qu’il s’agisse donc de dĂ©fendre un consentement ou une absence de consentement, des caractĂ©ristiques nĂ©gatives sont attribuĂ©es au groupe de professionnels dĂ©fendant la thĂšse inverse ou n’étant pas totalement en accord, expliquant ainsi la source du dĂ©saccord liĂ© Ă  l’évaluation du consentir et Ă  la conduite Ă  tenir. 11Enfin, un conflit Ă©thique apparaĂźt parmi les professionnels de santĂ© selon qu’ils mettent prĂ©fĂ©rentiellement en avant la sĂ©curitĂ©, et donc la protection de personnes considĂ©rĂ©es comme vulnĂ©rables, ou la prĂ©servation de la libertĂ© des personnes Nous soignants et la famille on est en droit de dire non pour la personne. C’est un point de vue. Alors aprĂšs, c’est pas forcĂ©ment le mien, c’est pas forcĂ©ment celui d’une autre partie de l’équipe, c’est, c’est pour ça qu’il y a ce projet de formation, justement pour qu’il y ait une ouverture des soignants vers
 vers le droit du rĂ©sident Ă  une vie privĂ©e
 » femme, cadre de santĂ© 12Ainsi, dans un contexte global en France d’une autonomisation croissante dans la prise en charge des personnes et d’une diminution subsĂ©quente du principe paternaliste de bienfaisance, la prise en charge de personnes atteintes de maladie d’Alzheimer interroge quelles conditions d’expression de la libertĂ© dans un contexte de vulnĂ©rabilitĂ© ?Les figures de l’abus rĂ©surgence de l’homme prĂ©dateur et de la femme victime13La division opĂ©rĂ©e par les professionnels de santĂ© confrontĂ©s Ă  des situations considĂ©rĂ©es comme sexuelles dans lesquelles ils perçoivent un potentiel abus fait Ă©merger conjointement les figures du prĂ©dateur sexuel et de la victime [8]. Une analyse des cas rapportĂ©s comme problĂ©matiques au niveau du consentement par les professionnels de santĂ© permet de mettre en Ă©vidence quelles sont les caractĂ©ristiques attribuĂ©es Ă  ces deux figures. Toutes les situations rapportĂ©es sont en effet relatives Ă  un rapport hĂ©tĂ©rosexuel, pĂ©nĂ©tratif ou non il s’agit toujours d’un homme abusant ou perçu comme potentiel abuseur d’une femme. D’autre part, il s’agit gĂ©nĂ©ralement de situations dĂ©finies comme asymĂ©triques au regard de l’évolution de la maladie, un cas typique pouvant alors ĂȘtre celui d’un homme en dĂ©but de dĂ©mence » abusant d’une femme ayant une dĂ©mence sĂ©vĂšre ». 14En effet, en combinant perte de l’état de culture et pulsion sexuelle perçue comme uniquement masculine, un dĂ©but de dĂ©mence est associĂ© de ce fait Ă  la perte de possibilitĂ© de contrĂŽle d’une pulsion masculine Ben la dĂ©mence, la dĂ©mence oĂč les verrous sautent
 la personne n’a pas le sens, c’est-Ă -dire que ça n’a pas de sens d’ĂȘtre inhibĂ© ou autre, c’est, il est comme ça, il est dans sa pulsion, il est dans
 dans son affect parce que c’est ça qui persiste, c’est le
 l’émotion et l’affect et
 ben il rĂ©alise son dĂ©sir. » homme, psychiatre 15Une dĂ©mence sĂ©vĂšre est associĂ©e quant Ă  elle Ă  une vulnĂ©rabilitĂ© amplifiĂ©e de la femme du fait de la maladie Ben c’est-Ă -dire s’il y a un dĂ©ment lĂ©ger qui abuse d’une dĂ©mente trĂšs sĂ©vĂšre, eh bien on peut se dire qu’il y a abus
[
] Abus de faiblesse
 [
] Abus de l’autre
 elle a plus
 elle ne parle plus, elle ne sait plus utiliser ses mains, elle n’a
 plus rien
 qui peut
 qui peut lui permettre de fuir ou de dire non
 » gĂ©rontopsychiatre, femme Le partage opĂ©rĂ© entre rapport consenti ou non consenti indique ainsi la prĂ©sence et participe Ă  la cristallisation de scripts genrĂ©s de la sexualitĂ©, attribuant Ă  la femme une vulnĂ©rabilitĂ© et Ă  l’homme une agressivitĂ©. Ces scripts sont appuyĂ©s par l’attribution ou la suspicion d’une personnalitĂ© Ă  tendance perverse chez certains hommes, tandis qu’une personnalitĂ© possiblement histrionique est associĂ©e Ă  la femme, tendances considĂ©rĂ©es comme prĂ©existant Ă  l’apparition d’une maladie d’Alzheimer mais pouvant ĂȘtre amplifiĂ©es avec son arrivĂ©e. À l’homme sont donc attribuĂ©es une capacitĂ© et une intention, celui-ci pouvant mĂȘme user de stratagĂšmes afin de dĂ©tourner l’attention des professionnels de santĂ© d’aprĂšs eux, tandis qu’à la femme sont associĂ©s l’incapacitĂ© et un discrĂ©dit sur ses propres dires, posant le problĂšme de la crĂ©dibilitĂ© de se dire victime. 16Ces scripts genrĂ©s s’articulent Ă  des scripts dichotomiques en termes de capacitĂ© et d’incapacitĂ©, dĂ©pendants de l’évolution de la maladie et associĂ©s Ă  la personne atteinte de maladie d’Alzheimer. L’incapacitĂ© semble en effet ĂȘtre associĂ©e Ă  une fin d’évolution, rattachĂ©e Ă  la figure du ou de la grabataire si la victime est donc d’autant plus incapable de consentir, il n’y a pas non plus d’agresseur perçu Ă  ce stade de maladie. A contrario, une absence ou un dĂ©but de maladie est plus facilement associĂ© Ă  une capacitĂ© conjointe d’agresser et de consentir. 17On retrouve ainsi d’assez nombreuses histoires de cas dans lesquelles les scripts de la maladie d’Alzheimer et les scripts genrĂ©s de la sexualitĂ© semblent agir dans une synergie propice Ă  la mise en exergue de l’abus, qui pose l’homme en prĂ©dateur et la femme en institutionnelle de la sexualitĂ©18On ne peut faire l’économie d’une analyse des rĂ©sultats prĂ©cĂ©demment observĂ©s au regard de la situation d’institutionnalisation. En effet, les Ă©tablissements accueillant des personnes atteintes de maladie d’Alzheimer prĂ©sentent les caractĂ©ristiques de l’institution totale telle que dĂ©crite par Goffman [9] coupure avec le monde extĂ©rieur de par la fermeture des services ou Ă©tablissements, besoins des usagers intĂ©gralement pris en charge par l’institution
 Or, ce type d’institution a pour effet de crĂ©er un systĂšme de relations propres, contribuant Ă  dĂ©finir le rĂŽle de la personne accueillie ; le fonctionnement de l’institution est alors assurĂ© par un ensemble de rĂšgles implicites, dans tous les secteurs de la vie des rĂ©sidents. De ce fait, l’organisation de la vie dans ces institutions soumet fortement la sexualitĂ© de ses usagers Ă  contrainte, modifiant par lĂ -mĂȘme les possibilitĂ©s d’expression de la sexualitĂ© des personnes en situation d’institutionnalisation. 19Ainsi, comme l’a analysĂ© Giami [10] en 1999 Ă  partir du travail de Lewkowicz [11] 1974, depuis l’introduction de la mixitĂ© dans ces institutions totales accueillant des malades mentaux, ce sont les relations hĂ©tĂ©rosexuelles qui deviennent au cƓur des prĂ©occupations des professionnels de santĂ©. C’est Ă©galement le cas ici le consentement n’est interrogĂ© que dans le cadre d’un rapport hĂ©tĂ©rosexuel, les rapports homosexuels Ă©tant Ă©voquĂ©s anecdotiquement et n’étant pas perçus comme potentiellement abusifs. De la mĂȘme façon, la pratique masturbatoire n’impliquant qu’un seul protagoniste est nettement moins sujette Ă  problĂ©matisation elle demeure cependant encadrĂ©e, et recadrĂ©e en cas de masturbation considĂ©rĂ©e comme excessive ou se dĂ©roulant dans la sphĂšre publique. La tolĂ©rance peut aller jusqu’à une valorisation dans la mesure oĂč elle est perçue comme mettant Ă  distance les possibilitĂ©s de problĂšme de consentement dans un rapport hĂ©tĂ©rosexuel » Comme on dit des fois, comme on dit en transmission des fois, on dit “il vaut mieux qu’il le fasse tout seul que d’aller embĂȘter une petite grand-mĂšre Ă  cĂŽtĂ© !” » femme, agent de service hospitalier 20Si surveillance et contrĂŽle sont Ă  l’Ɠuvre dans ce type d’établissement, les usagers ne bĂ©nĂ©ficient pas forcĂ©ment davantage de tolĂ©rance la nuit, contrairement Ă  ce qu’avait notĂ© Giami au sujet des hĂŽpitaux psychiatriques. Dans le cas des Ă©tablissements accueillant des personnes ĂągĂ©es prĂ©sentant diverses dĂ©mences, les possibilitĂ©s de contrĂŽle nocturne Ă©tant rĂ©duites pour cause de diminution de prĂ©sence soignante, d’autres modalitĂ©s de restriction, chimiques ou spatiales, ont vu le jour Ce qu’il faut c’est qu’ils dorment la nuit
 pour pas qu’il y ait cette tentation de rentrer dans les chambres la nuit, etc. ! Ça fait peur aux dames, ça fait peur aux soignants, la nuit vous avez beaucoup moins de personnel, au lit du patient, donc c’est beaucoup plus difficile Ă  rĂ©guler, donc s’assurer qu’ils dorment bien. [
] On va privilĂ©gier ce type de mĂ©dicaments, sans que ça soit un neuroleptique. » femme, psychiatre 21 Il y a plusieurs ehpad oĂč ils n’ont pas forcĂ©ment le droit de sortir de la chambre, voire ils sont enfermĂ©s dans la chambre pendant la nuit, donc du coup
 On peut se servir de ça pour limiter les relations sexuelles, et pour Ă©viter de se poser la question s’ils sont consentants ou pas. » femme, psychologue Architecturalement, les Ă©tablissements d’hĂ©bergement Ă©tudiĂ©s sont effectivement plutĂŽt passĂ©s du modĂšle de la chambre double Ă  celui de la chambre simple tandis que le secteur psychiatrique de la personne ĂągĂ©e propose des chambres doubles non mixtes dans cet Ă©chantillon, ne favorisant ainsi ni la conservation ni la formation d’un couple hĂ©tĂ©rosexuel, l’institution du couple Ă©tant pourtant considĂ©rĂ©e comme le fondement principal de l’organisation de la la dĂ©construction de la maniĂšre dont est mobilisĂ© le consentement en matiĂšre de sexualitĂ© dans les institutions accueillant des personnes atteintes de maladie d’Alzheimer a permis de mettre en avant plusieurs Ă©lĂ©ments d’une part, la sexualitĂ© en gĂ©nĂ©ral est pensĂ©e par les professionnels de santĂ© comme directement rattachĂ©e Ă  un consentement mutuel celui-ci apparaĂźt toujours comme cadre lĂ©gitime de la sexualitĂ©. D’autre part, la capacitĂ© Ă  consentir de la personne atteinte de maladie d’Alzheimer soulĂšve des controverses ainsi que des dilemmes Ă©thiques. Enfin, cette opĂ©ration de dĂ©construction met au jour une perpĂ©tuation de scripts genrĂ©s de l’hĂ©tĂ©rosexualitĂ©. Le concept d’institution totale permet alors de proposer une explication de la surveillance particuliĂšre dont fait l’objet l’activitĂ© hĂ©tĂ©rosexuelle, contribuant Ă  penser et Ă  maintenir la sexualitĂ© des personnes atteintes de maladie d’Alzheimer dans une altĂ©ritĂ© radicale vis-Ă -vis des personnes non labellisĂ©es Alzheimer ». Il pourrait ĂȘtre intĂ©ressant d’affiner l’analyse par l’influence du genre du professionnel de santĂ© dans ces scripts. Notes [1] A. Giami, L. Ory, Constructions sociales et professionnelles de la sexualitĂ© dans le contexte de la maladie d’Alzheimer », GĂ©rontologie et sociĂ©tĂ©, n°140, 2012, p. 145-158. En ligne [2] Le constructivisme, tel qu’envisagĂ© par Bloor dans son Programme fort 1976, stipule que le contexte social est une composante indissociable de la construction de la connaissance les vraies croyances » tout comme les fausses croyances » peuvent ĂȘtre analysĂ©es en tant que construction et au regard du contexte social. [3] Les Ă©lĂ©ments prĂ©sentĂ©s dans cet article s’inscrivent dans une thĂšse de doctorat en cours portant sur le thĂšme Alzheimer et sexualitĂ© scripts des professionnels de santĂ© et des proches familiaux ». [4] J. Gagnon, Les scripts de la sexualitĂ©. Paris, Payot, 1991. [5] La thĂ©orie de scripts de la sexualitĂ© permet Ă  la fois de dĂ©construire le rapport essentialiste Ă  la sexualitĂ© et de penser les dĂ©terminants de la sexualitĂ© sur plusieurs niveaux scripts intrapsychiques, scripts interpersonnels, et scĂ©narios culturels. Elle donne ainsi les moyens de penser tout Ă  la fois, pour un mĂȘme objet de recherche la sexualitĂ©, l’influence des facteurs subjectifs, interactionnels et institutionnels/culturels. DiffĂ©rentes hypothĂšses explicatives peuvent alors ĂȘtre formulĂ©es Ă  partir de ces niveaux, rĂ©conciliant par lĂ  mĂȘme les tenants des approches du tout psychique » ou du tout social ». [6] G. Vigarello, Violences sexuelles violences d’aujourd’hui », Esprit, n° 8-9, 1997. [7] Le consentement Ă©clairĂ© a Ă©tĂ© instaurĂ© avec la loi Kouchner du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et Ă  la qualitĂ© du systĂšme de santĂ©. Il implique que le malade soit acteur des prises de dĂ©cision qui le concernent. Ce consentement aux soins se doit d’ĂȘtre libre sans contrainte, rĂ©vocable Ă  tout moment, Ă©clairĂ© faisant suite Ă  une information mĂ©dicale complĂšte, spĂ©cifique Ă  chaque Ă©tape du diagnostic et du traitement, et doit se prĂ©senter idĂ©alement sous forme contractuelle Ă©crite. [8] Des rĂ©sultats similaires ont Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©s dans le champ du handicap intellectuel, les professionnels de santĂ© attribuant Ă  la femme davantage d’innocence sexuelle, de naĂŻvetĂ© et de vulnĂ©rabilitĂ©, et Ă  l’homme plus d’intĂ©rĂȘt sexuel couplĂ© Ă  un aspect prĂ©dateur R. Young, N. Gore, M. McCarthy, Staff attitudes towards sexuality in relation to gender of people with intellectual disability A qualitative study », Journal of Intellectual and Developmental Disability, vol 37, n° 4, 2012, p. 343-347.En ligne [9] E. Goffman, Asiles. Études sur la condition sociale des malades mentaux et autres reclus, Paris, Les Ă©ditions de Minuit, 1971. [10] A. Giami, Les organisations institutionnelles de la sexualitĂ© », Handicap, revue de sciences humaines et sociales, n° 83, 1999, p. 3-29. Repris dans A. Giami, B. Py, Toniolo sous la direction de, Des sexualitĂ©s et des handicaps. Questions d’intimitĂ©, Presses universitaires de Lorraine, 2013. [11] G. Lewkowicz, La poursuite du changement dans un hĂŽpital psychiatrique public, thĂšse pour le doctorat en mĂ©decine, Paris, facultĂ© de mĂ©decine Xavier-Bichat, 1974.
Chartede la personne accueillie. (ArrĂȘtĂ© du 8 septembre 2003 relatif Ă  la Charte des droits et libertĂ©s de la personne accueillie mentionnĂ©e Ă  l’article L.311-4 du code de l’action sociale et des familles) Article 2 : Droit Ă  une prise en charge ou Ă  un accompagnement adaptĂ©. Article 4 : Principe du libre choix, du consentement Si vous souhaitez nous alerter sur un Ă©vĂ©nement susceptible de reflĂ©ter une situation contraire Ă  l’éthique et notamment tout fait de corruption, de trafic d’influence et plus gĂ©nĂ©ralement toute violation d’une Loi ou d’un RĂšglement, vous pouvez nous Ă©crire Ă  l’adresse ethique SAS RĂ©sidence Matisse - SiĂšge social 16, ChaussĂ©e Albert Einstein 59200 Tourcoing - TĂ©l. - Fax - Email contact Capital social 50 000 € - RCS Lille - Siret 515 282 952 00032 - Code NAF 8730A - FINESS 590022638 - N° TVA intra FR26 515 282 952

CHARTEDES DROITS ET LIBERTÉS. DE LA PERSONNE ACCUEILLIE. Article 1er. Principe de non-discrimination. Dans le respect des conditions particuliĂšres de prise en charge et d'accompagnement, prĂ©vues par la loi, nul ne peut faire l'objet d'une discrimination Ă  raison de son origine, notamment ethnique ou sociale, de son apparence

Si vous souhaitez nous alerter sur un Ă©vĂ©nement susceptible de reflĂ©ter une situation contraire Ă  l’éthique et notamment tout fait de corruption, de trafic d’influence et plus gĂ©nĂ©ralement toute violation d’une Loi ou d’un RĂšglement, vous pouvez nous Ă©crire Ă  l’adresse ethique SAS RĂ©sidence Paul Éluard - SiĂšge social 3 chemin des Esses 69370 Saint-Didier-au-Mont-d'Or - TĂ©l. - Fax - Email contact Capital social 75 000 € - RCS Lyon - Siret 482 311 057 00038 - Code NAF 8710A - FINESS 690034491- N° TVA intra FR91 482 311 057 EHPAD- La Maison. Charte des droits et libertĂ©s de la personne accueillie. PrĂ©sentation. Historique. HĂ©bergement. Votre quotidien. Le personnel. Charte de la personne ĂągĂ©e dĂ©pendante. Admission. Contact . MĂȘme dĂ©pendantes, les personnes ĂągĂ©es doivent continuer Ă  exercer leurs droits et leurs libertĂ©s de citoyens. Cette charte a pour objectif
PrĂ©sentation de l’EHPAD EHPAD Les Quatre Vents 12 rue Berlioz 67550 VENDENHEIMTĂ©l. les4vents Responsable de site Mme Françoise GRABERMĂ©decin Dr Pauline ZAPPATERRAInfirmiĂšre rĂ©fĂ©rente Mme Jasmine SCHNEIDER Un petit chez soi dans un grand chez nous L’EHPAD Les Quatre Vents est un lieu de vie et de soins qui se donne pour mission d’accompagner les personnes ĂągĂ©es dans leur vie quotidienne et de rĂ©pondre au mieux, en fonction des moyens, Ă  leurs besoins. ImplantĂ© dans le centre de Vendenheim, l’EHPAD Les Quatre Vents a ouvert ses portes en 2009. Le projet est Ă  l’initiative de 4 communes Eckwersheim, Lampertheim, Mundolsheim et Vendenheim. L’établissement fait partie de l’Association EmmaĂŒs-Diaconesses depuis le 1er janvier 2017, sachant qu’il Ă©tait gĂ©rĂ© par celle-ci depuis le 1er fĂ©vrier 2015. Il est composĂ© d’un EHPAD de 60 lits, dont 15 en UnitĂ© de Vie ProtĂ©gĂ©e UVP, dĂ©nommĂ©e Le Ponant », rĂ©servĂ©s Ă  l’accueil de personnes ĂągĂ©es atteintes de la maladie d’Alzheimer ou troubles apparentĂ©s,d’un Accueil de Jour de 10 places destinĂ© Ă  l’accueil de personnes ĂągĂ©es vivant Ă  domicile, isolĂ©es ou qui prĂ©sentent des troubles de l’orientation. Un climat de confiance est nĂ©cessaire et suppose la reconnaissance des droits et obligations de chacun. Vous serez accueilli dans le respect des valeurs du projet d’établissement,de la Charte des droits et libertĂ©s de la personne ĂągĂ©e dĂ©pendante,des prestations dĂ©finies dans le contrat de sĂ©jour. L’établissement dispose d’une procĂ©dure de prĂ©vention et de traitement des actes de maltraitance institutionnelle. Les rĂšgles gĂ©nĂ©rales de responsabilitĂ© civile applicables Ă  toute personne accueillie dans ses relations avec les diffĂ©rents occupants sont dĂ©finies par les articles 1382 Ă  1384 du Code Civil. La personne accueillie doit de ce fait ĂȘtre obligatoire couverte par une assurance responsabilitĂ© civile. L’EHPAD Les Quatre Vents est entourĂ© d’un parc de 60 ares en cours d’amĂ©nagement. AccĂšs L’établissement est facilement accessible par bus ligne 71, arrĂȘt Vendenheim Mairie et se situe Ă  quelques minutes Ă  pied de la gare. Les EHPAD du PĂŽle Seniors
charte de la personne ùgée accueillie en ehpad
Cettecharte a été établie par la commission "Droits et Libertés" de la Fondation Nationale de Gérontologie en 1986. Elle a pour but de reconnaßtre la dignité de la personne ùgée devenue dépendante et de préserver ses droits. Article I - Choix de vie Toute personne ùgée dépendante garde la liberté de choisir son mode de vie.
Charte Alzheimer Ă©thique et sociĂ©tĂ© 2007 TĂ©lĂ©charger PDF 44 Ko Charte des droits & libertĂ©s de la personne ĂągĂ©e dĂ©pendante TĂ©lĂ©charger PDF 89 Ko Charte des droits & libertĂ©s de la personne accueillie TĂ©lĂ©charger PDF 89 Ko Droits des rĂ©sidents TĂ©lĂ©charger PDF 111 Ko Charte Ă©co-responsable TĂ©lĂ©charger PDF 900 Ko Charte d'animation gĂ©rontologie TĂ©lĂ©charger PDF 171 Ko Charte GIR TĂ©lĂ©charger PDF 176 Ko Guide des bonnes pratiques en EHPAD TĂ©lĂ©charger PDF 798 Ko Charte Humanitude de l'Ă©tablissement TĂ©lĂ©charger PDF 132 Ko Charte du bĂ©nĂ©volat TĂ©lĂ©charger PDF 42 Ko LapremiĂšre version de la Charte de la personne ĂągĂ©e a vu le jour en 1987. Elle a Ă©tĂ© mise en place par la Fondation nationale de gĂ©rontologie et le ministĂšre de l’Emploi et de la SolidaritĂ©. En 2007, ce texte a Ă©tĂ© rĂ©visĂ©. Le terme de « handicap » y a Ă©tĂ© insĂ©rĂ©. C’est cette charte qui est aujourd’hui appliquĂ©e dans les Ă©tablissements dĂ©diĂ©s Ă  accueillir les Contexte La charte des droits et libertĂ©s de la personne accueillie date de 2003. Elle intervient dans un contexte de multiplication des chartes, comme autant d’outils contribuant Ă  assurer la diffusion d’une culture des droits de l’usager en Ă©tablissement mĂ©dico-social. Pour autant, elle ne saurait ĂȘtre approchĂ©e individuellement, et doit ĂȘtre mise en Ɠuvre au mĂȘme titre que la conclusion d’un contrat de sĂ©jour, la mise en place d’un rĂšglement de fonctionnement, l’instauration et le fonctionnement effectif d’un conseil de la vie sociale

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Respectde la fin de vie : soins et assistance doivent ĂȘtre procurĂ©s Ă  la personne ĂągĂ©e en fin de vie et Ă  sa famille. La recherche, une prioritĂ© et un devoir : la recherche multidisciplinaire sur le vieillisse-ment et la dĂ©pendance est une prioritĂ©. Exercice des droits et protection juridique de la personne : toute personne en
La charte des droits et libertĂ©s de la personne accueillie Ă©tablit les droits fondamentaux auxquels peut prĂ©tendre toute personne accueillie en Ă©tablissement ou par un service d’accompagnement Ă  domicile. Ce texte est un Ă©lĂ©ment fondateur et essentiel du projet et de la qualitĂ© du services d’aide Ă  domicile de charte est parue au Journal Officiel n° 234 du 9 octobre 2003, MinistĂšre de la santĂ©, de la famille et des personnes handicapĂ©es. ArrĂȘtĂ© du 8 septembre 2003 relatif Ă  la charte des droits et libertĂ©s de la personne accueillie, mentionnĂ©e Ă  l’article L. 311-4 du code de l’action sociale et des 1 Principe de non-discriminationDans le respect des conditions particuliĂšres de prise en charge et d’accompagnement, prĂ©vues par la loi, nul ne peut faire l’objet d’une discrimination Ă  raison de son origine, notamment ethnique ou sociale, de son apparence physique, de ses caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©tiques, de son orientation sexuelle, de son handicap, de son Ăąge, de ses opinions et convictions, notamment politiques ou religieuses, lors d’une prise en charge ou d’un accompagnement, social ou 2 Droit Ă  une prise en charge ou Ă  un accompagnement adaptĂ©La personne doit se voir proposer une prise en charge ou un accompagnement, individualisĂ© et le plus adaptĂ© possible Ă  ses besoins, dans la continuitĂ© des 3 Droit Ă  l’informationLa personne bĂ©nĂ©ficiaire de prestations ou de services a droit Ă  une information claire, comprĂ©hensible et adaptĂ©e sur la prise en charge et l’accompagnement demandĂ©s ou dont elle bĂ©nĂ©ficie ainsi que sur ses droits et sur l’organisation et le fonctionnement de l’établissement, du service ou de la forme de prise en charge ou d’accompagnement. La personne doit Ă©galement ĂȘtre informĂ©e sur les associations d’usagers oeuvrant dans le mĂȘme domaine. La personne a accĂšs aux informations la concernant dans les conditions prĂ©vues par la loi ou la rĂ©glementation. La communication de ces informations ou documents par les personnes habilitĂ©es Ă  les communiquer en vertu de la loi s’effectue avec un accompagnement adaptĂ© de nature psychologique, mĂ©dicale, thĂ©rapeutique ou 4 Principe du libre choix, du consentement Ă©clairĂ© et de la participation de la personneDans le respect des dispositions lĂ©gales, des dĂ©cisions de justice ou des mesures de protection judiciaire ainsi que des dĂ©cisions d’orientation La personne dispose du libre choix entre les prestations adaptĂ©es qui lui sont offertes soit dans le cadre d’un service Ă  son domicile, soit dans le cadre de son admission dans un Ă©tablissement ou service, soit dans le cadre de tout mode d’accompagnement ou de prise en consentement Ă©clairĂ© de la personne doit ĂȘtre recherchĂ© en l’informant, par tous les moyens adaptĂ©s Ă  sa situation, des conditions et consĂ©quences de la prise en charge et de l’accompagnement et en veillant Ă  sa droit Ă  la participation directe, ou avec l’aide de son reprĂ©sentant lĂ©gal, Ă  la conception et Ă  la mise en oeuvre du projet d’accueil et d’accompagnement qui la concerne lui est l’expression par la personne d’un choix ou d’un consentement Ă©clairĂ© n’est pas possible en raison de son jeune Ăąge, ce choix ou ce consentement est exercĂ© par la famille ou le reprĂ©sentant lĂ©gal auprĂšs de l’établissement, du service ou dans le cadre des autres formes de prise en charge et d’accompagnement. Ce choix ou ce consentement est Ă©galement effectuĂ© par le reprĂ©sentant lĂ©gal lorsque l’état de la personne ne lui permet pas de l’exercer directement. Pour ce qui concerne les prestations de soins dĂ©livrĂ©es par les Ă©tablissements ou services mĂ©dico-sociaux, la personne bĂ©nĂ©ficie des conditions d’expression et de reprĂ©sentation qui figurent au code de la santĂ© personne peut ĂȘtre accompagnĂ©e de la personne de son choix lors des dĂ©marches nĂ©cessitĂ©es par la prise en charge ou l’ 5 Droit Ă  la renonciationLa personne peut Ă  tout moment renoncer par Ă©crit aux prestations dont elle bĂ©nĂ©ficie ou en demander le changement dans les conditions de capacitĂ©s, d’écoute et d’expression ainsi que de communication prĂ©vues par la prĂ©sente charte, dans le respect des dĂ©cisions de justice ou mesures de protection judiciaire, des dĂ©cisions d’orientation et des procĂ©dures de rĂ©vision existantes en ces 6 Droit au respect des liens familiauxLa prise en charge ou l’accompagnement doit favoriser le maintien des liens familiaux et tendre Ă  Ă©viter la sĂ©paration des familles ou des fratries prises en charge, dans le respect des souhaits de la personne, de la nature de la prestation dont elle bĂ©nĂ©ficie et des dĂ©cisions de justice. En particulier, les Ă©tablissements et les services assurant l’accueil et la prise en charge ou l’accompagnement des mineurs, des jeunes majeurs ou des personnes et familles en difficultĂ©s ou en situation de dĂ©tresse prennent, en relation avec les autoritĂ©s publiques compĂ©tentes et les autres intervenants, toute mesure utile Ă  cette le respect du projet d’accueil et d’accompagnement individualisĂ© et du souhait de la personne, la participation de la famille aux activitĂ©s de la vie quotidienne est 7 Droit Ă  la protectionIl est garanti Ă  la personne comme Ă  ses reprĂ©sentants lĂ©gaux et Ă  sa famille, par l’ensemble des personnels ou personnes rĂ©alisant une prise en charge ou un accompagnement, le respect de la confidentialitĂ© des informations la concernant dans le cadre des lois existantes. Il lui est Ă©galement garanti le droit Ă  la protection, le droit Ă  la sĂ©curitĂ©, y compris sanitaire et alimentaire, le droit Ă  la santĂ© et aux soins, le droit Ă  un suivi mĂ©dical 8 Droit Ă  l’autonomieDans les limites dĂ©finies dans le cadre de la rĂ©alisation de sa prise en charge ou de son accompagnement et sous rĂ©serve des dĂ©cisions de justice, des obligations contractuelles ou liĂ©es Ă  la prestation dont elle bĂ©nĂ©ficie et des mesures de tutelle ou de curatelle renforcĂ©e, il est garanti Ă  la personne la possibilitĂ© de circuler librement. À cet Ă©gard, les relations avec la sociĂ©tĂ©, les visites dans l’institution, Ă  l’extĂ©rieur de celle-ci, sont les mĂȘmes limites et sous les mĂȘmes rĂ©serves, la personne rĂ©sidente peut, pendant la durĂ©e de son sĂ©jour, conserver des biens, effets et objets personnels et, lorsqu’elle est majeure, disposer de son patrimoine et de ses 9 Principe de prĂ©vention et de soutienLes consĂ©quences affectives et sociales qui peuvent rĂ©sulter de la prise en charge ou de l’accompagnement doivent ĂȘtre prises en considĂ©ration. Il doit en ĂȘtre tenu compte dans les objectifs individuels de prise en charge et d’ rĂŽle des familles, des reprĂ©sentants lĂ©gaux ou des proches qui entourent de leurs soins la personne accueillie doit ĂȘtre facilitĂ© avec son accord par l’institution, dans le respect du projet d’accueil et d’accompagnement individualisĂ© et des dĂ©cisions de moments de fin de vie doivent faire l’objet de soins, d’assistance et de soutien adaptĂ©s dans le respect des pratiques religieuses ou confessionnelles et convictions tant de la personne que de ses proches ou 10 Droit Ă  l’exercice des droits civiques attribuĂ©s Ă  la personne accueillieL’exercice effectif de la totalitĂ© des droits civiques attribuĂ©s aux personnes accueillies et des libertĂ©s individuelles est facilitĂ© par l’institution, qui prend Ă  cet effet toutes mesures utiles dans le respect, si nĂ©cessaire, des dĂ©cisions de 11 Droit Ă  la pratique religieuseLes conditions de la pratique religieuse, y compris la visite de reprĂ©sentants des diffĂ©rentes confessions, doivent ĂȘtre facilitĂ©es, sans que celles-ci puissent faire obstacle aux missions des Ă©tablissements ou services. Les personnels et les bĂ©nĂ©ficiaires s’obligent Ă  un respect mutuel des croyances, convictions et opinions. Ce droit Ă  la pratique religieuse s’exerce dans le respect de la libertĂ© d’autrui et sous rĂ©serve que son exercice ne trouble pas le fonctionnement normal des Ă©tablissements et 12 Respect de la dignitĂ© de la personne et de son intimitĂ©Le respect de la dignitĂ© et de l’intĂ©gritĂ© de la personne est la nĂ©cessitĂ© exclusive et objective de la rĂ©alisation de la prise en charge ou de l’accompagnement, le droit Ă  l’intimitĂ© doit ĂȘtre prĂ©servĂ©.
Ladmission est prononcée par le directeur. Contacts: de 8h à 12h et de 13h45 à 17h30 au .00. Charte des droits et libertés de la personne ùgée en situation de handicap ou de dépendance. Charte des droits et libertés de la personne accueillie.
RĂ©sider en EHPAD Établissement d’HĂ©bergement pour Personnes ÂgĂ©es DĂ©pendantes ne signifie pas la fin de ses droits civiques. Chaque rĂ©sident peut notamment exercer son droit de vote, qu’il jouisse encore ou non pleinement de son autonomie. Des solutions permettent en effet aux personnes grabataires ou rencontrant de troubles de la mobilitĂ© de voter. Quelles conditions pour voter en France ? Voter constitue un droit fondamental pour tout citoyen Français. Afin de rĂ©aliser ce devoir Ă©lectoral, il est toutefois nĂ©cessaire de rĂ©pondre Ă  plusieurs critĂšres Être de nationalitĂ© française, Être majeur, soit ĂągĂ© de plus de 18 ans, Jouir de ses droits civiques, soit ne pas avoir Ă©tĂ© dĂ©chu du droit de vote suite Ă  une condamnation par exemple, Être inscrit sur les listes Ă©lectorales de sa commune de rĂ©sidence. Afin de voter pour des Ă©lections se dĂ©roulant dans le courant de l’annĂ©e N+1, l’inscription sur les listes Ă©lectorales doit avoir Ă©tĂ© effectuĂ©e au plus tard au 31 dĂ©cembre de l’annĂ©e N auprĂšs des services de la mairie ou en ligne via le site Pour voter, il est ensuite nĂ©cessaire de se rendre en bureau de vote le jour de l’élection dans le temps imparti, soit entre 8h et 20h dans les grandes villes et entre 8h et 18h dans les communes rurales. Les bureaux de vote sont gĂ©nĂ©ralement hĂ©bergĂ©s Ă  l’hĂŽtel de ville, dans les mairies de quartier ou encore les Ă©coles Ă©lĂ©mentaires. Chaque Ă©lecteur dĂ©pend d'un bureau de vote spĂ©cifique indiquĂ© sur sa carte Ă©lectorale. En cas de perte d’autonomie, lorsque les potentiels Ă©lecteurs rencontrent des difficultĂ©s Ă  se dĂ©placer pour se rendre en bureau de vote, plusieurs solutions sont possibles. Vote quelles personnes pour accompagner une personne ĂągĂ©e ? Lorsqu’il est difficile pour la personne ĂągĂ©e de se dĂ©placer seule ou de conduire, il est possible de se faire accompagner pour aller voter. Le senior peut ainsi demander de l’aide Ă  l'un de ses proches membre de la famille, entourage familial pour se rendre au bureau de vote. Si la Charte des droits et libertĂ©s de la personne accueillie » prĂ©cise que le droit de vote doit ĂȘtre facilitĂ© pour les personnes rĂ©sidant en structure mĂ©dicosociale, dans les faits, il n'existe aucune obligation lĂ©gale. Cependant, certaines maisons de retraite mettent un service de transports ainsi que des accompagnants Ă  la disposition des rĂ©sidents afin de les aider Ă  effectuer leur devoir citoyen. Dans certains cas, ces personnels peuvent ĂȘtre autorisĂ©s Ă  entrer dans l'isoloir et Ă  Ă©marger pour le senior. Bon Ă  savoir Les personnes ĂągĂ©es isolĂ©es vivant Ă  domicile peuvent Ă©galement faire appel Ă  un service d’aide Ă  domicile afin de les assister pour aller voter. Cependant, lorsqu’un dĂ©placement pour aller voter se rĂ©vĂšle trop difficile ou risquĂ©, le senior dispose Ă©galement de la possibilitĂ© de rĂ©aliser une procuration afin que l’un de ses proches puisse voter en son nom. Cette personne doit Ă©galement ĂȘtre en mesure de voter Ăąge, nationalitĂ© et ĂȘtre inscrite sur les listes Ă©lectorales mĂȘme s'il ne s'agit pas de la mĂȘme circonscription ou du mĂȘme bureau de vote. Comment faire une procuration ? DestinĂ©, entre autres, aux personnes prĂ©sentant un handicap ou une dĂ©pendance, le vote par procuration permet de dĂ©signer un mandataire habilitĂ© Ă  voter au nom d’une autre personne. L’individu mandatĂ© est ensuite tenu de voter selon les consignes transmises au sein du bureau de vote dont dĂ©pend le senior. Pour effectuer la dĂ©marche, il est dans un premier temps nĂ©cessaire que le senior renseigne le formulaire Cerfa 14952*03, en prĂ©cisant son numĂ©ro national d’électeur ainsi que celui de la personne dĂ©signĂ©e. Ce numĂ©ro apparaĂźt sur la carte Ă©lectorale de l'Ă©lecteur et, le cas Ă©chĂ©ant, est disponible en ligne. Ce formulaire peut ĂȘtre tĂ©lĂ©chargĂ© en ligne sur le site officiel de l’administration française ou sur le site du ministĂšre de l’IntĂ©rieur. Vous pouvez Ă©galement le tĂ©lĂ©charger ici TĂ©lĂ©chargez un formulaire de vote par procuration Une fois le document rempli, il est nĂ©cessaire de le prĂ©senter en personne dans un commissariat, une gendarmerie, le tribunal d’instance dont on dĂ©pend ou de tout autre lieu dĂ©fini par le prĂ©fet, avec une piĂšce d’identitĂ©. En cas de situation de dĂ©pendance, que la personne rĂ©side Ă  domicile ou en EHPAD, il est possible de faire une demande Ă©crite afin qu’un personnel de police ou de gendarmerie vienne rĂ©cupĂ©rer sa procuration. Pour ce faire, il est nĂ©cessaire d’effectuer une demande Ă©crite en indiquant sur l’honneur son impossibilitĂ© Ă  se dĂ©placer. De nombreux Ă©tablissements organisent dĂ©sormais avant chaque Ă©lection cette intervention afin de recueillir les procurations de l'ensemble des rĂ©sidents souhaitant voter. La procuration peut ĂȘtre effectuĂ©e au plus tard la veille de l’élection, il est toutefois conseillĂ© de faire sa demande en amont afin d’ĂȘtre bien certain que le document ait Ă©tĂ© transmis au bureau de vote concernĂ© avant le jour de l'Ă©lection. Comment voter sous tutelle ? Une personne majeure placĂ©e sous un rĂ©gime de tutelle ou de curatelle conserve le droit fondamental d’aller voter. Si jusqu’à rĂ©cemment, le code Ă©lectoral empĂȘchait l’inscription des majeurs protĂ©gĂ©s sur les listes Ă©lectorales, la mesure a Ă©tĂ© abrogĂ©e par la loi du 23 mars 2019. Pour ce faire, il faudra cependant que la personne sous tutelle demande l’inscription sur les listes Ă©lectorales et se dĂ©place pour aller voter sans l’aide d’un tiers, exception faite des individus prĂ©sentant un handicap physique. Le cas Ă©chĂ©ant, le majeur vulnĂ©rable peut Ă©galement Ă©tablir une procuration en dĂ©signant la personne de son choix afin qu'elle puisse voter en son nom. Lorsque les capacitĂ©s cognitives de la personne ĂągĂ©e sont altĂ©rĂ©es, dans le cas d'une dĂ©mence de type Alzheimer, en l'absence de cadre juridique, c'est gĂ©nĂ©ralement Ă  la famille que revient la dĂ©cision de permettre ou non Ă  leur proche d'aller voter.

sentir d’exprimer, de rĂ©agir. La personne ĂągĂ©e est libre de sa personne. Aucun Ă©tablissement, aucune structure de prise en charge, aucun accueillant familial ne peut "exclure" ou "demander le renvoi" d’une personne ĂągĂ©e pour des motifs non liĂ©s au contrat de sĂ©jour, au rĂšglement de fonctionnement, ou liĂ©s Ă  l’aggravation de sa

Les Ehpad hĂ©bergent des personnes ĂągĂ©es Ă  temps complet ou partiel, de maniĂšre permanente ou proposent des soins mĂ©dicaux et paramĂ©dicaux adaptĂ©s, des actions de prĂ©vention et d'Ă©ducation Ă  la projet d'accompagnement personnalisĂ© est mis en place avec la personne ĂągĂ©e et avec sa personne de confiance. Il comprend un projet de soins et de vie exprimant les aspirations et choix de la personne ĂągĂ©e Ă  court, moyen et long Ehpad doivent au minimum fournir les prestations suivantes Administration gĂ©nĂ©rale Ă©tat des lieux, document de liaison avec la famille, contrat de sĂ©jour ou document individuel de prise en chargeAccueil hĂŽtelier mise Ă  disposition d'une chambre, accĂšs Ă  une salle de bain comprenant au moins un lavabo, une douche et des toilettes, Ă©clairage, chauffage, entretien et nettoyage, accĂšs Ă  la tĂ©lĂ©vision, Ă  la tĂ©lĂ©phonie et Ă  internet...Restauration accĂšs Ă  un service de restauration, fourniture de 3 repas, d'un goĂ»ter et d'une collation nocturneBlanchissage fourniture du linge de lit et de toilette et entretienAnimation animation collective Ă  l'intĂ©rieur et l'extĂ©rieur de l'Ă©tablissementD'autres prestations peuvent Ă©galement ĂȘtre proposĂ©es prestation de coiffure, par exemple.Les Ehpad disposent d'une Ă©quipe pluridisciplinaire comprenant au moins un mĂ©decin coordonnateur,un professionnel infirmier titulaire du diplĂŽme d'État,des aides-soignants,des aides mĂ©dico-psychologiques,des accompagnants Ă©ducatifs et sociauxet des personnels noter dans le cadre de l'Ă©tat d'urgence sanitaire liĂ© au Covid-19, les Ehpad peuvent adapter leurs conditions d'organisation et de fonctionnement et dispenser des prestations non prĂ©vues. Ils peuvent Ă©galement proposer une rĂ©partition diffĂ©rente des activitĂ©s et faire appel Ă  d'autres qualifications de la plupart des Ehpad sont gĂ©nĂ©ralistes et peuvent accueillir plusieurs personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, certains sont spĂ©cialisĂ©s dans cette prise en annuaire-comparateur des prestations et prix des Ehpad est consultable en un hĂ©bergement pour personnes ĂągĂ©es Éhpad, rĂ©sidence autonomie, Ă©tablissement de soins de longue durĂ©e et comparer leurs prestations et prix pratiquĂ©sVidĂ©o Comment faire le bon choix d'un Ă©tablissement ? CrĂ©dits site de la Caisse nationale de la solidaritĂ© pour l'autonomie CNSA
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Contacts EHPAD ou USLD du Centre Hospitalier Robert Bisson. 4 Rue Roger Aini. 14100 LISIEUX. Standard : 02 31 61 31 31. Bureau des entrées : 02 31 61 33 25. Gestion des tutelles : 02 31 61 30 83. Cadre de santé Maison de cure : 02 31 61 34 50. Cadre de santé Pavillon Colombe : 02 31 61 33 31.
Le coĂ»t de l'accueil comprend les Ă©lĂ©ments suivants RĂ©munĂ©ration pour services rendus prĂ©paration et service des repas, repassage, aide personnelle pour l'accomplissement de certains actes, dĂ©placements pour emmener la personne accueillie chez le mĂ©decin...IndemnitĂ©s de congĂ©s payĂ©sIndemnitĂ©s dites de sujĂ©tions particuliĂšres calculĂ©es en fonction du besoin d'aide de la personne accueillie, liĂ© Ă  son handicap ou Ă  sa perte d'autonomieIndemnitĂ© de mise Ă  disposition des piĂšces du logementIndemnitĂ© d'entretien eau, chauffage, denrĂ©es alimentaires, produits d'entretien et d'hygiĂšne...La personne accueillie paie directement l'accueillant familial par tout moyen virement, chĂšque bancaire....RĂ©munĂ©ration pour services rendusLe montant de la rĂ©munĂ©ration pour services rendus est Ă©gal Ă  27,68 € brut par rĂ©munĂ©ration est complĂ©tĂ©e par une indemnitĂ© de congĂ©s payĂ©s qui correspond Ă  10 % de la rĂ©munĂ©ration pour services salaire pour services rendus et indemnitĂ© de congĂ©s payĂ©s sont soumis au paiement de cotisations sociales par la personne vos cotisations d'accueillant familialIndemnitĂ© pour sujĂ©tions particuliĂšresSelon le niveau de sujĂ©tions, c'est-Ă -dire la disponibilitĂ© de l'accueillant familial liĂ©e Ă  l'Ă©tat de santĂ© de la personne accueillie, le montant de l’indemnitĂ© journaliĂšre est compris entre 4,10 € et 16,16 €.Les indemnitĂ©s pour sujĂ©tions particuliĂšres sont soumises au paiement de cotisations sociales par la personne vos cotisations d'accueillant familialIndemnitĂ© de mise Ă  disposition des piĂšces du logementL'indemnitĂ© d'hĂ©bergement correspond aux frais d'occupation du logement. Elle est fixĂ©e en fonction des Ă©lĂ©ments suivants Taille et qualitĂ© des piĂšces mises Ă  disposition de la personne accueilliePrix moyen des locations dans le secteur environnantLe montant de l'indemnitĂ© est nĂ©gociĂ© entre la personne accueillie et l'accueillant services du dĂ©partement disposent d’un droit de contrĂŽle sur le montant de cette d'entretienL'indemnitĂ© d’entretien est modulable en fonction des besoins de la personne accueillie alimentation, produits d'hygiĂšne et d'entretien.... Cette indemnitĂ© est comprise entre 7,88 € et 19,70 €.
Chartede la personne hospitalisĂ©e; Charte des droits et libertĂ© de la personne ĂągĂ©e dĂ©pendante; Charte des droits et libertĂ© de la personne accueillie; Vos dons; Espace recrutement. Offres d’emplois; Candidature spontanĂ©e; Appels d’offres; Les Ă©tablissements. La clinique de la MisĂ©ricorde; SSR BETHARRAM; URSP Maurice Abiven
Si vous souhaitez nous alerter sur un Ă©vĂ©nement susceptible de reflĂ©ter une situation contraire Ă  l’éthique et notamment tout fait de corruption, de trafic d’influence et plus gĂ©nĂ©ralement toute violation d’une Loi ou d’un RĂšglement, vous pouvez nous Ă©crire Ă  l’adresse ethique RĂ©sidence Saint Charles - SiĂšge social 10, rue de la Halle 89600 SAINT-FLORENTIN - TĂ©l. 03 86 35 06 66 - Fax - Email contact RCS Auxerre - SIREN 538528191 - N° TVA Intra FR18538528191
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